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Les aveux de Gogolata

De Le wiki Final Fantasy XIV Online - JeuxOnLine
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Résumé ( Spoil ! )

Gogolata vous a avoué la véritable raison qui l'empêche de rentrer à Ul'dah. Ses marchandises ont été dérobées par une bande de voleurs qiqirns, et il craint le courroux de sa femme s'il rentre chez lui les mains vides. Gogolata pense que les voleurs ont caché leur butin dans leur repaire au sud du Radeau de la Calebasse. Allez reprendre son bien pour éviter au marchand un triste destin.

Vous avez retrouvé la caisse de marchandises de Gogolata. Retournez au Radeau de la Calebasse l'apporter à son propriétaire.

Bien que soulagé de retrouver ses marchandises, Gogolata ne semble pas pressé de retourner à Ul'dah. Avec les rumeurs inquiétantes qui courent, il a décidé de prolonger son séjour à l'auberge du Liège flottant.

Déroulement

  1. Retrouver la caisse de marchandises de Gogolata.
  2. Apporter les marchandises à Gogolata.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Gogolata : Pour tout vous dire, il n'y a rien que je désire plus que rentrer à Ul'dah pour y retrouver ma femme adorée. Seulement, il y a un petit problème qui complique la situation...
Mes marchandises m'ont été dérobées par une bande de voleurs qiqirns. Si je rentrais les mains vides, la colère de ma femme ferait passer le Fléau pour un petit feu de brousse... Non, je n'ai pas d'autre choix que rester ici pour le moment.

Gogolata : Malheur, ô grand malheur ! Un marchand sans marchandises ne vaut pas plus qu'un tas d'excréments d'opo-opo ! Comment vais-je pouvoir me montrer devant ma femme dans ces conditions ?
Mais, ce sont mes marchandises que vous avez là ! Où les avez-vous trouvées ? Le camp qiqirn hein... Exactement comme je vous avais dit ! Hein ? Euh, non, ce n'était pas mon intention, je...
Hum ! Quoi qu'il en soit, vous m'avez une fois de plus rendu un fier service, <joueur>. Grâce à vous, je peux enfin retourner à Ul'dah, où ma femme bien aimée m'attend avec impatience !
Mais il y a ces bruits qu'on entend de plus en plus, à propos d'un dangereux homme masqué... Non, vraiment, les routes ne sont pas sûres, je crois qu'il vaut mieux que je reste au Liège flottant quelques nuits de plus...