Icone Mini momie.png Wiki zombi

Ce wiki n'est plus entretenu. Les informations qui y sont contenues sont pour la plupart obsolètes.

La fête des demoiselles (2014)

De Le wiki Final Fantasy XIV Online - JeuxOnLine
Sauter à la navigation Sauter à la recherche

La fête des demoiselles est un événement qui s'est déroulé du vendredi 28 février 2014 au jeudi 13 mars 2014. <ref name"lodestone">Lien sur The Lodestone</ref>

FeteDemoiselles2014.png

Déroulement

Cet événement consiste en une série de quêtes. La première, IconeQuêteAnnexe.png Pour le plaisir des dames, peut être lancée en parlant à un Sénéchal royal des 3 cités :

  • Ul'dah - Faubourg de Nald (10:9)
  • Gridania - Vieille Gridania (10:9)
  • Limsa Lominsa - Le Tillac (11:13)

Les 3 dernières quêtes sont ensuite proposées par Serendipity à la guilde des orfèvres :

  1. IconeQuêteAnnexe.png Une fleur peut adoucir les mœurs
  2. IconeQuêteAnnexe.png Faire bonne impression
  3. IconeQuêteAnnexe.png Une issue inattendue

Récompenses

Une Icone Mini princesse Edvya.png Mini princesse Edvya est obtenue en récompense de la dernière quête.

Il est également possible d'acheter certains objets auprès des Saisonnières des 3 cités :

Princesse des demoiselles
Objet Prix
Icone Boucle doreille fleur de pêcher.png Boucle d'oreille fleur de pêcher 66 Gil
Icone Confetti pêche.png Confetti pêche 10 Gil
Icone Gâteau de riz.png Gâteau de riz 23 Gil


Histoire

L'Œil de mythril est toujours là, à suivre l'actualité du marché pour vous, ne clignant pas une fois, ne versant pas la moindre larme, et bien sûr, ne dormant jamais !
Cette fois, Havak Halvak s'intéresse de plus près à la fête des demoiselles et, en particulier, à l'effervescence qui entoure la guilde des orfèvres.

La plus belle des poupées

Le printemps est de retour en Éorzéa et Nophica, dans son immense bonté, a jugé bon de lui faire don de nombreux et inestimables pêchers. Les cités-États, en ce moment même parées d'un magnifique voile fuchsia, ont vu affluer en masse des jeunes filles d'une beauté époustouflante dont le comportement convivial ne peut signifier qu'une chose : la fête des demoiselles, ce jour béni où les jeunes filles des quatre coins d'Éorzéa sont traitées comme des princesses, approche.

Comme toujours, l'Œil de mithril cherche à en savoir plus sur les coulisses de ce festival, et notamment sur les services offerts par la guilde des orfèvres. La queue aux portes des Joyaux d'Eshtaime s'étend jusqu'à l'allée de rubis alors qu'ils n'ont pourtant aucun accessoire particulier en vente. Quelle mouche a bien pu piquer toutes ces personnes ?
La réponse est simple, mes chers lecteurs : cette année, pour la fête des demoiselles, qui a été créée en l'honneur de la princesse Edvya, la crème des artisans d'Éorzéa a été mise à profit pour concevoir de délicates poupées à l'effigie de la princesse.
Celles-ci seront donc vêtues de parures plus magnifiques les unes que les autres, et ce sont les jeunes femmes joyeuses de chaque cité-État qui éliront leur poupée préférée parmi toutes les figurines. Le meilleur artisan pourrait bien connaître la richesse et la célébrité vu l'intérêt suscité par le concours. Voilà la raison pour laquelle la guilde attire autant d'artistes désireux de faire de leur poupée la plus esthétique des créations. Pour répondre à la demande, les orfèvres des Joyaux d'Eshtaime travaillent d'arrache-pied afin de fournir à leurs clients perles et tapisseries en tous genres. Mais à peine les ont-ils terminées qu'elles sont déjà vendues.

Les étals de l'allée de rubis sont remplis de ces marchandises, mais j'imagine que cela ne va pas effrayer les aventuriers ; ces braves gens ne reculent devant rien pour dénicher un trésor. La fête de cette année offre une myriade de possibilités et, avec un peu de chance, peut-être que votre poupée sera élue la plus belle de toutes.

-- Havak Alvak

La disparition de la princesse Edvya

Il y a trois siècles, Ul'dah était dirigée par un sultan à la poigne de fer : Baldric Thorne, un homme craint dans toute la région pour ses accès de colère soudains et sa rapidité à faire justice. Les Douze jugèrent bon de donner au sultan une fille unique, Edvya, qu'il aimait bien plus que le soleil et la lune. Et c'est cet amour inconditionnel qui poussa Baldric à s'assurer que rien ni personne ne pourrait faire du mal à sa fille adorée. Il lui interdit donc de quitter le palais royal et la plaça même sous la surveillance d'un cortège de plus de cinquante servantes et sénéchaux.

Mais l'envie de découvrir le monde était si forte, qu'un jour, la princesse demanda à la fille d'un meunier, venue au palais avec sa mère livrer de la farine aux cuisines, de lui prêter ses vêtements. Sans sa tiare et sa somptueuse robe, échapper à la vigilance des gardes n'était plus qu'une formalité. Cependant, le sultan ne mit pas longtemps à comprendre que quelque chose ne tournait pas rond et, découvrant que sa fille avait disparu, sombra dans une rage profonde. Il lanca toute l'armée du sultanat à la recherche de la princesse. Pensant qu'Edvya avait été enlevée par la famille du meunier, le sultan fit mettre à sac leur demeure. Il les fit ensuite arrêter, torturer, et jeter aux oubliettes.

Heureusement, la princesse ne s'était pas aventurée bien loin et fut rapidement retrouvée par les hommes de son père dans un marché, tout près d'Ul'dah. Une fois en sécurité dans l'enceinte du palais, Edvya raconta toute l'histoire à son père, lui expliquant que c'est elle qui avait forcé la jeune fille à l'aider et le suppliant de se montrer clément avec sa famille. Réalisant que ses prisonniers étaient innocents, il les fit libérer et convoquer. Non seulement il leur présenta ses plus plates excuses, mais il demanda également aux architectes royaux de leur fabriquer une nouvelle maison. Enfin, contre toute attente, Baldric proposa à la fille du meunier d'être son sénéchal pour un jour car, pour lui, toutes les jeunes filles du sultanat, nobles ou non, devaient recevoir le respect qui leur était dû.

Il ne fallut pas longtemps pour que cette démonstration d'humilité se répande dans tout Ul'dah. Les habitants apprécièrent le geste de leur souverain et commencèrent à le voir autrement que comme un despote au cœur de pierre. Le sultan décida même de consacrer une journée par an à l'élection d'une jeune fille ordinaire pour laquelle il jouerait les sénéchaux, comme il l'avait fait avec la fille du meunier.


<references/>