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Une terre d'asile peu accueillante

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Résumé ( Spoil ! )

Suite à sa conversation avec Minfilia, Thancred pense que vos talents de négociateur pourraient être utiles si la situation venait à dégénérer à la baie des Vêpres. Il vous a suggéré de faire le point avec Alphinaud, qui a lui aussi fait le déplacement, avant de vous engager dans des actions concrètes.

Un navire est apparu dans la baie des Vêpres avec, à son bord, des réfugiés de la cité orientale de Doma, une province sous domination garlemaldaise. Plusieurs d'entre eux auraient rejoint la terre ferme afin d'obtenir audience auprès de la Sultane. Alphinaud suppose qu'ils ont dû se rendre à Ul'dah. Allez à la promenade royale et trouvez leur meneuse.

Faute d'autorisation, les réfugiés de Doma n'ont pu obtenir l'audience qu'ils sollicitaient. Alphinaud les a invités à le suivre aux Sables mouvants afin de discuter au calme. Retrouvez-le à la taverne et joignez-vous à la conversation.

Vous avez écouté la terrible histoire des réfugiés de Doma. Alphinaud a accepté de leur venir en aide et est parti défendre leur cause auprès du général Aldynn. Parlez à Yugiri et voyez si vous pouvez faire quelque chose pour elle.

Yugiri vous a dit que nombre de ses compagnons souffraient de la faim. Elle craint que les plus faibles, notamment les enfants, ne soient à bout de forces. Allez voir Momodi et demandez-lui si elle n'a pas des vivres en réserve.

Touchée par l'histoire des réfugiés de Doma, Momodi a généreusement accepté de leur faire livrer de la nourriture. Visitez les échoppes de Fridurih et de Katherine, dans l'avenue de saphir, et donnez-leur à chacun une lettre.

Vous avez remis les lettres aux deux marchands, comme convenu. Retournez aux Sables mouvants et faites votre rapport à Momodi.

Grâce à la générosité de Momodi, les Domiens vont pouvoir manger à leur faim dès aujourd'hui. Annoncez la bonne nouvelle à Yugiri.

Yugiri s'est réjouie du soutien de la guilde des aventuriers. Une bonne nouvelle n'arrivant jamais seule, Alphinaud lui a annoncé que la Sultane et ses conseillers allaient la recevoir. Bien sûr, vous serez à ses côtés. Allez à la promenade royale et parlez à Raubahn pour accéder à la chambre de l'encens.

Malheureusement pour Yugiri et les siens, l'audience s'est soldée par un échec. Lolorito et les autres membres du Cartel, à l'exception de Teledji Adeledji, ont refusé de leur accorder l'asile. Il va falloir trouver une autre solution...

Déroulement

  1. Parler à Alphinaud, à la baie des Vêpres.
  2. Trouver la meneuse des migrants, à la promenade royale.
  3. Parler à Alphinaud, aux Sables mouvants.
  4. Parler à Yugiri.
  5. Parler à Momodi.
  6. Donner la lettre de Momodi à Fridurih et à Katherine.
  7. Parler à Momodi.
  8. Parler à Yugiri.
  9. Parler à Raubahn, à la promenade royale.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Thancred : Minfilia n'a pas précisé la nature exacte du problème, mais je ne pense pas qu'il s'agisse d'une menace immédiate. Vos talents particuliers de négociateur pourraient toutefois nous être utiles si la situation venait à dégénérer.
Pendant que vous vous occupez de cette histoire, je vais aider Fufulupa à retrouver le Roegadyn qui a pris la fuite.
Ah, oui ! Minfilia m'a dit qu'Alphinaud était lui aussi en route pour la baie des Vêpres. Je vous conseille de faire le point avec lui avant de vous lancer dans des actions concrètes. Bonne chance.

Alphinaud : Bonsoir <joueur>. Je suppose que vous ignorez ce qui vient de se passer ici, aussi je vais vous faire un petit topo.
Il y a quelques heures de cela, un navire complètement délabré est apparu dans la baie des Vêpres avec à son bord des réfugiés de la cité orientale de Doma.
Sans doute l'ignorez-vous, mais Doma est une province sous contrôle garlemaldais. Il a dû se passer quelque chose de grave pour que ces gens soient contraints de fuir leur pays. Nous devons essayer d'en savoir plus.
D'après les témoins présents au moment des faits, plusieurs réfugiés auraient rallié la terre ferme et seraient partis demander audience auprès de la Sultane. Je suppose qu'ils ont dû se rendre à Ul'dah. Essayons de les retrouver.

Bartholomew : Seuls ceux qui disposent d'une autorisation peuvent fouler le sol sacré du palais d'Ul'dah.
Meneuse des réfugiés : Je vous en prie, c'est une question de vie ou de mort !
Nous voulons simplement parler au seigneur de ce pays. Cela ne prendra pas plus de quelques minutes, nous vous le promettons !
Bartholomew : Inutile d'insister, je ne vous laisserai pas entrer tant que vous n'aurez pas de document officiel prouvant votre identité. Je ne sais pas d'où vous venez, mais à Ul'dah, on ne peut pas voir la famille royale en se pointant comme ça, à l'improviste. Allez ! Fichez le camp d'ici !
Meneuse des réfugiés : Votre attitude me débecte ! Hmpf !
Alphinaud : Que se passe-t-il ? Il y a un problème ?
Meneuse des réfugiés : Mes camarades et moi sommes venus demander audience auprès du seigneur de ce pays, mais ces idiots de gardes ne veulent pas nous laisser passer. Qu'à cela ne tienne ! Puisqu'ils refusent de nous ouvrir, nous entrerons par la force !
Alphinaud : Attendez ! Ces hommes ne font que leur travail, et la violence ne vous mènera nulle part, en tout cas certainement pas auprès de la Sultane. Il nous faut agir avec tact et diplomatie.
Permettez-moi de me présenter : je m'appelle Alphinaud Leveilleur. Je ne suis pas originaire d'Ul'dah, mais j'entretiens de bonnes relations avec les dirigeants de cette cité. Vous appartenez au groupe de réfugiés qui a accosté à la baie des Vêpres, n'est-ce pas ? Votre histoire m'intéresse.
Je vous propose de parler au calme, autour d'un verre, si le cœur vous en dit. <Joueur>, je vais conduire ces personnes aux Sables mouvants. Vous nous suivez ?

Yugiri : Mon nom est Yugiri. Mes compagnons et moi avons traversé la mer depuis notre cité orientale de Doma pour venir chercher refuge ici.
Alphinaud : Refuge ? Comment ça ?
Yugiri : Voyez-vous, mon pays était une province garlemaldaise. Il va sans dire que c'est l'Empire qui nous avait annexés de force.
Il y a quelque temps, un conflit a déchiré nos occupants autour de la succession impériale. Nous avons jugé que c'était l'occasion de nous soulever contre l'envahisseur...
Malheureusement, notre rébellion a rapidement été écrasée. J'ai aidé mes semblables à s'enfuir avant de conduire un groupe de survivants en Éorzéa par la voie des eaux.
Alphinaud : Survivants ? Vous voulez dire que Doma...
Yugiri : Hélas, oui. Notre Cité a été littéralement rayée de la carte.
Alphinaud : J'imagine que c'est ce qui vous amène en Éorzéa. Vous souhaitez demander l'asile.
Yugiri : En effet. Mes compagnons sont sur un bateau, ancré au large de ce port où nous avons accosté... la baie des Vêpres, c'est cela ? Nous l'avons maquillé en navire marchand pour éviter toute suspicion.
À bord se trouvent ceux qui ont pris part à la rébellion, accompagnés de leurs familles. Mes compagnons et moi sommes venus négocier auprès du gouvernement uldien en leur nom.
Nous avons tenté de rencontrer le souverain ou dirigeant de cette nation, mais on nous a froidement refusé toute audience.
Alphinaud : La cour est sans doute peu encline à recevoir un groupe d'étrangers débarquant à l'improviste...
Yugiri : J'admets volontiers que j'ai été naïve sur ce point. Mais nos provisions s'amenuisent de jour en jour, et il y a beaucoup d'enfants sur notre navire...
En venant ici, j'ai également aperçu nombre de réfugiés aux portes de la ville. Cette Cité semble déjà fortement sollicitée.
Alphinaud : Dans tous les cas, je comprends mieux votre situation. L'empire de Garlemald est aussi notre ennemi. Rien ne garantit que nous ne subirons pas un jour le même sort que vous.
Je vais me charger de vous obtenir une audience auprès de la sultane. J'ignore quelle en sera l'issue, mais vous aurez au moins la chance d'expliquer ce qui vous est arrivé.
Yugiri : Vous feriez cela pour nous !?
Alphinaud : Oui. Je n'en ai peut-être pas l'air, mais j'ai une certaine influence auprès des dirigeants éorzéens.
Yugiri : Nous vous en serions infiniment reconnaissants.
Alphinaud : Mais si vous me permettez... Votre tenue attise ma curiosité, Dame Yugiri. Et je ne crois pas avoir jamais vu des gens de votre morphologie en Éorzéa.
Yugiri : Je vous prie d'excuser mon accoutrement. Les différences sont souvent la cause de malentendus... Nous en avons déjà fait l'expérience par le passé.
Tout ce que nous demandons, c'est de l'aide... Il n'est pas dans nos intentions de créer le moindre trouble en ces lieux.
Alphinaud : Très bien. Voilà une sage résolution. Et vous n'avez pas à vous excuser pour la façon dont vous vous habillez.
Yugiri : Votre compréhension et votre amabilité nous vont droit au cœur.
Alphinaud : Je vais de ce pas parler au général Aldynn. Mon ami, je vous prie de bien vouloir veiller sur ces gens.

Yugiri : Vous allez vraiment nous aider ? Votre gentillesse me touche profondément... Les miens et moi avons entrepris un voyage de plusieurs mois depuis le continent oriental d'Othard. Nous avons fui Doma dans la précipitation, alors même que nos provisions n'étaient pas suffisantes pour une traversée pareille.
Nombre de mes compagnons ont succombé à la famine... Certains parents se sont même sacrifiés pour sauver leurs enfants... La plupart sont dans un état critique. J'aimerais qu'ils aient quelque chose à se mettre sous la dent, afin qu'ils puissent reprendre des forces.
Messire Leveilleur et vous semblez connaître beaucoup de monde ici. J'ai conscience de l'impertinence de ma demande, mais pourriez-vous convaincre le propriétaire de cette taverne de nous céder quelques vivres, s'il vous plaît ?

Momodi : Grands dieux ! Ce que vous me racontez me fend le cœur...Qu'à cela ne tienne ! Aux grands maux, les grands remèdes ! Je vais leur faire livrer tous les ingrédients que nous avions commandés pour le service de demain !
Tenez, prenez ces lettres et donnez-les à Fridurih et Katherine. Ces deux marchands sont les principaux fournisseurs des Sables mouvants, ils se chargeront d'acheminer les produits à la baie des Vêpres.
Faites vite surtout !

Fridurih : Une lettre de la part de Momodi ? Qu'est-ce qui se passe? Ne me dites pas qu'elle est encore à court de lait de bufflonne !?
Je vois. Je m'occupe de ça tout de suite.... Décidément, le monde va bien mal en ce moment. J'espère seulement que ces réfugiés ne nous causeront pas de problèmes. On ne peut nier que la misère a tendance à engendrer des comportements délictueux.

Katherine : Qu'est-ce qu'il lui faut, au Monsieur ?
... Pardon ? Montrez-moi cette lettre !
... Je comprends mieux. N'empêche que Momodi a vraiment le cœur sur la main. Ce n'est pas moi qui irais donner gratuitement de la nourriture à des inconnus. Enfin, c'est sans doute ce côté grippe-sou qui fait que je suis une excellente commerçante. Hi hi !

Momodi : C'est bon ? Ils ont dit qu'ils allaient s'en occuper ?
... Me voilà rassurée. J'imagine que Dame Yugiri sera, elle aussi, très contente de savoir que les siens auront bientôt de quoi se mettre sous la dent. Je vous laisse le soin de lui annoncer cette bonne nouvelle.

Yugiri : Je n'en crois pas mes oreilles ! Et vous dites que cela ne nous coûtera rien, en plus ?
... Vous nous sauvez la vie ! Il faut absolument que j'aille remercier la propriétaire de cet établissement !

Alphinaud : Je viens de m'entretenir avec le général Aldynn, qui est allé exposer votre cas à la Sultane dans la foulée.
Yugiri : Mais alors, ça veut dire que...
Alphinaud : Oui ! Sa Majesté Nanamo Ul Namo ainsi que ses proches conseillers du Cartel des Scorpions vont vous recevoir. Vous allez pouvoir vous entretenir directement avec les personnes les plus influentes de ce pays.
Yugiri : Messire Leveilleur, je... Merci... Merci infiniment.
Alphinaud : Inutile de me remercier, Dame Yugiri, c'était trois fois rien. J'aimerais tellement faire plus pour vous... Je crains, hélas, que votre sort ne soit entièrement entre les mains des dirigeants de cette Cité.
Yugiri : Vous nous avez donné une merveilleuse opportunité, à nous de la saisir.
Alphinaud : Allons à la promenade royale, le général Aldynn nous attend.

Raubahn Aldynn : Dame Nanamo et les membres du Cartel se sont rassemblés dans la chambre de l'encens. Ne les faisons pas attendre plus longtemps, car “le temps, c'est de l'argent”, comme vous le savez probablement.
Yugiri : Votre Majesté, je vous remercie humblement de m'accorder audience. La bienséance aurait voulu que je vous apporte des présents de ma contrée...
Malheureusement, telles n'étaient pas les conditions de notre départ de Doma. Je vous prie donc de bien vouloir m'excuser pour cette incivilité.Je suis ici pour vous demander humblement l'asile dans votre cité.
Nanamo Ul Namo : Nous, Nanamo Ul Namo, 17e sultane d'Ul'dah, te souhaitons la bienvenue.Yugiri, c'est bien cela? Mets-toi à ton aise.
Alphinaud nous a expliqué votre situation, à toi et aux tiens. Votre Cité a été détruite par l'Empire, c'est bien cela ?
Yugiri : Oui, tout à fait, Votre Majesté... Garlemald est actuellement plongé dans le chaos du fait de luttes internes autour de la succession au trône. Cette situation se ressent jusque dans les provinces impériales.
Nous avons essayé d'en profiter pour nous rebeller et reprendre notre indépendance, mais nous avons échoué. L'Empire a mis à feu et à sang notre patrie pour montrer à tous les peuples qui sont sous son joug que l'obéissance ou la soumission sont les seules voies possibles.
Raubahn Aldynn : Et vous avez donc fui par la mer depuis Doma. Combien de vos compatriotes se sont échappés avec vous ?
Yugiri : Deux cents des miens sont cachés dans la cale de notre navire, serrés les uns contre les autres. Et ce n'est là qu'un seul des vaisseaux qui ont fui notre patrie...
Si vous acceptez de nous accueillir sur votre terre, j'aimerais y faire venir le reste de mon peuple.
Bien sûr, nous n'espérons pas obtenir une telle faveur sans contrepartie. Nous sommes prêts à vous offrir nos services comme soldats ou travailleurs.
Raubahn Aldynn : Quelle est l'opinion du Cartel sur cette question ?
Teledji Adeledji : Cette offre me paraît tout à fait acceptable. Il est indéniable que depuis le septième fléau, nous manquons cruellement de main-d'œuvre pour les travaux de reconstruction et de développement.
Alphinaud : (Cet homme est Teledji Adeledji, le président du groupe Mirage. C'est lui qui contrôle le monde de la finance à Ul'dah.)
Raubahn Aldynn : Comme ces gens sont originaires d'une terre lointaine, il faudra sûrement adapter la loi, mais il me semble tout à fait envisageable de les accueillir ici.
Lolorito : Je suis au regret de vous dire que je ne puis me montrer favorable à un tel projet.
Teledji Adeledji : Et pourquoi donc, Seigneur Lolorito ?
Lolorito : Ouvrez les yeux ! Ul'dah grouille déjà de réfugiés du Fléau et d'immigrés mhigois. Et cela fait plus de cinq ans que bon nombre d'entre eux vivent aux crochets de notre cité.
Avec les nouvelles mesures d'aide des Immortels, leur présence va nous coûter encore plus cher !
Les fonds publics se réduisent à une telle vitesse que l'on peut difficilement encore appeler Ul'dah la “Cité d'or”. Dans ces conditions, nous ne pouvons absolument pas nous permettre d'accueillir de nouveaux nécessiteux !
Qui plus est, la criminalité liée aux immigrés est en hausse. Vous n'êtes pas sans savoir cela, Teledji Adeledji ?
Nombre d'entre eux n'arrive pas à trouver de travail, sombre dans la violence et le crime. La situation est telle que même les Immortels et les lames de cuivre ne parviennent pas à enrayer ce phénomène.
Alphinaud : (Le seigneur Lolorito est le président de la Firme du commerce de l'Aldenard oriental... et à la tête d'une telle fortune qu'on le surnomme “le milliardaire”. Il est de facto le membre le plus puissant et le plus influent du Cartel.)
Nanamo Ul Namo : ... Seigneur Lolorito. Malgré la piètre situation financière de notre cité, il nous semble tout à fait possible d'accueillir au moins Yugiri et son groupe à Ul'dah.
Pour ce qui est de la criminalité, nous proposons de revoir la loi.
Lolorito : Ah ! C'est effectivement une excellente idée, Votre Majesté !
Et peut-on savoir quand exactement les sultanistes comptent enfin proposer cet amendement à la loi ?
Savez-vous depuis combien d'années les Mhigois sont installés dans le Thanalan ? À l'époque, on nous promettait de nouvelles lois, mais rien n'a été fait et on a laissé ces réfugiés s'approprier le hameau qu'on appelle aujourd'hui Petite Ala Mhigo.
Raubahn Aldynn : Surveillez vos paroles, Seigneur Lolorito !
Teledji Adeledji : N'oublions pas que les gens sont une richesse. Ces réfugiés seront peut-être un jour la base qui permettra à Ul'dah de devenir plus forte. Vous devriez peut-être reconsidérer...
Lolorito : Voilà pourquoi on vous reproche votre mollesse, Teledji Adeledji. Les hommes et l'argent sont les piliers d'un État, mais sa base doit être un pouvoir fort.
Et c'est justement ce qui fait actuellement défaut à Ul'dah. Sans un gouvernement stable, il nous est impossible de bâtir quoi que ce soit de durable.
À ce propos, on me rapporte que les affaires du Mirage de platine ne se portent pas très bien, ces temps-ci.
Se pourrait-il que la piètre qualité du service fasse fuir la clientèle? Quand on exploite des réfugiés payés une bouchée de pain, il ne faut pas s'étonner que la réputation de l'établissement finisse par en pâtir...
Teledji Adeledji : ...
Raubahn Aldynn : Ces échanges d'invectives ne nous mènent nulle part ! Prenons plutôt une décision.
Que tous ceux qui sont favorables à l'accueil des réfugiés de Doma restent. Les autres, vous pouvez partir.
Nanamo Ul Namo : Nous sommes désolée, Yugiri. Comme tu peux le voir, le pouvoir de la sultane a ses limites dans cette cité.
À notre plus grand regret, nous pouvons difficilement prendre la moindre décision sans obtenir l'accord préalable du Cartel des Scorpions...
Yugiri : Ne vous reprochez rien, Votre Majesté. Le fait même que vous ayez écouté notre demande est déjà beaucoup d'honneur.
Teledji Adeledji : ... Maudit Lolorito. C'est aussi parce qu'il a abandonné le commerce oriental par voie terrestre que Petite Ala Mhigo est dans cet état aujourd'hui !
J'imagine ce que vous avez dû endurer pour venir jusqu'ici. J'aurais vraiment aimé pouvoir vous aider.
Raubahn Aldynn : J'ai honte quand je vois que notre cité n'est pas encore unie, alors que les grandes compagnies arrivent à s'allier.
Ce sont les monétaristes, ou plutôt, c'est le seigneur Lolorito qui a bien trop de pouvoir. Il pourrait devenir dangereux, à terme.
Ce n'est pas le lieu pour discuter de cela... Sortons.