Récital pour un amour dément
Récital pour un amour dément | Niveau 42 |
PNJ client : Davyd
Noscea occidentale ({{{fullPosition}}})
Prérequis
Classe : Toutes
Le chant des vagues (Niveau 42)
Description
Davyd transpire à grosses gouttes...
Récompenses
Déverrouille
Le cristal corrompu ambulant (Niveau 43)
Résumé ( Spoil ! )
Davyd vous a informée que Mimidoa se dirige vers les Îles d'Ombra pour vous chercher. Rendez-vous sur la côte au nord pour accueillir le vieil homme.
D'après Mimidoa, les troubles récents sont le fait d'une sirène. Décidé à s'en débarrasser avec votre aide, il vous a remis une paire de bouchons d'oreille pour vous protéger de son chant et vous a donné rendez-vous au cimetière de bateaux.
En arrivant au cimetière de bateaux, vous avez trouvé Mimidoa à côté d'un gros feu de camp. Confiant que les flammes attireront la sirène près de la côte, il vous a donné l'ordre d'attendre jusqu'à ce qu'elle apparaisse.
Au moment où Mimidoa et vous vous apprêtiez à tomber de sommeil, la sirène a fait irruption et entonné sa chanson. Vous avez immédiatement enfoncé les bouchons au fond de vos oreilles, juste à temps pour éviter de succomber à l'invitation mortelle de la créature. Remarquant que son chant n'avait aucun effet sur vous, elle a tenté d'envoyer ses serviteurs morts-vivants à votre encontre, en vain, avant d'abandonner le combat et de retourner là d'où elle était venue. Parlez à Mimidoa pour vous assurer qu'il est sain et sauf.
Mimidoa a applaudi votre performance, affirmant que la sirène ne s'approchera pas des Îles d'Ombra pendant un bon moment. Retournez trouver Davyd et faites-lui savoir que la créature ne représente plus aucune menace.
Davyd était autant choqué que soulagé à l'écoute de votre histoire. Comme promis, il vous a remis un cristal corrompu en échange de vos efforts. Retournez à Port-aux-Ales pour le montrer à Ceana.
En réalisant que vous avez besoin d'un cristal corrompu capable de manipuler l'élément vent et non l'élément eau, Ceana a judicieusement observé que votre excursion à Port-aux-Ales s'est révélée être une belle perte de temps.
Déroulement
- Parler à Mimidoa.
- Parler à Mimidoa.
- Attendre à côté du feu de camp pour commencer un combat.
- Le combat est limité niveau 46.
- Le combat vous oppose à plusieurs vagues de zombies et squelettes (niveau 38-39).
- Les zombies mages ont peu de point de vie mais peuvent causer d'important dégâts. Supprimez-les en priorité.
- En cours de combat, des sphères d'eau apparaissent sur le terrain et se déplacent. Si vous en touchez-une, celle-ci explose en vous infligeant ~200 dégâts.
- Parler à Mimidoa.
- Parler à Davyd.
- Apporter le pot enduit pesant à Ceana.
Dialogues
Dialogues ( Spoil ! )
Davyd : Si elles sont vraiment de retour, ça voudrait dire que... Ah, excuse-moi, j'étais perdu dans mes pensées.
Au fait, on m'a prévenu que Mimidoa n'allait pas tarder à débarquer sur l'île.
Apparemment, il en a eu assez d'attendre que “le jeunot à la peau de bébé” retourne à Port-aux-Ales. Il voulait parler de toi, je suppose.
Je ne sais pas quel genre de marché vous avez conclu, mais tu devrais certainement aller le trouver pour t'expliquer.
Mimidoa : Qu'est-ce qui te prend aussi longtemps, <joueur> ? Tu n'as encore rien découvert ?
Vraiment, une voix appelle quiconque s'approche du cimetière de bateaux ? Et les morts-vivants sont attirés, eux aussi ?
Eh bien, j'ai connu un phénomène étrangement similaire à l'époque où je faisais partie de l'équipage de Barbe-Brume...
Certains disaient que la première purge serait aussi la dernière, mais au fond de moi je savais que ce jour viendrait. Je mettrais ma sourde oreille à couper qu'une sirène est responsable de nos problèmes !
Non, pas une des sirènes sanguinaires. Je veux parler de celles qui attirent les marins vers une mort lente avec leur douce chanson.
Le pire, c'est que ce n'est pas la fin, vois-tu ? Même mortes, les victimes des sirènes sont contraintes d'obéir à leurs ordres jusqu'à ce que leur corps ne leur permette plus.
Je ne souhaiterais pas un tel destin à mon pire ennemi... Toi et moi, nous devons arrêter cette sirène avant qu'elle ne fasse davantage de victimes.
Bien sûr, il est hors de question de te laisser partir au combat sans une paire de bouchons d'oreille améliorés. Tu as de la chance, j'en ai toujours sur moi !
Bon, comme elle ne va pas venir à nous, c'est nous qui allons aller à sa rencontre. Direction le cimetière de bateaux !
Mimidoa : Si elle s'approche de la côte, elle remarquera à coup sûr mon feu de camp. Il n'y a plus qu'à attendre, maintenant.
Mimidoa : (bâille) Je commence à me demander si tes “aventuriers” ne t'ont pas raconté des bobards...
Écoute ! Tu l'entends ? Je l'entends, moi...
Regarde, la voilà !
Enfonce-toi les bouchons jusqu'au fond des oreilles, et prépare-toi à te défendre ! Quand elle réalisera que tu ne peux pas l'entendre, elle fera sans doute appel à ses serviteurs morts-vivants !
Mimidoa : C'était presque parfait ! Dommage qu'elle ait réussi à s'enfuir...
Enfin, ça m'étonnerait qu'elle revienne de sitôt ! Et puis, que les Douze nous gardent, si cela devait arriver, tu saurais quoi faire, n'est-ce pas ?
Merci pour ton aide, <joueur>. Tu es un bon petit, et je suis sûr que tu iras loin.
Davyd : Alors c'était vraiment une sirène ? Comment as-tu fait pour résister à son chant ?
... Je vois. J'avais entendu que Mimidoa avait participé à cette fameuse purge, mais je n'y avais jamais vraiment cru. Après avoir survécu à une épreuve aussi traumatisante, ça ne me surprend pas qu'il garde toujours une paire de ces bouchons sur lui.
Comme promis, voici le cristal corrompu que tu cherchais, scellé à l'intérieur du pot que tu m'as apporté. Il est à toi !
Ceana : Ah, <joueur>, quel plaisir de vous revoir ! Vous m'avez l'air d'être en bonne santé... et vivant. Vous êtes bien vivant, n'est-ce pas ?
Oh ! Vous m'avez apporté un petit souvenir ! Comme c'est gentil de votre part !
Impressionnant... Très impressionnant, même... Oui, je pense que vous serez satisfaite de ce spécimen.
Mes félicitations ! Ce cristal devrait vous permettre de manipuler une quantité prodigieuse d'éther de l'élément eau.
... Comment ? Ce n'est pas ce dont vous aviez besoin ? Mon pauvre... Vous avez bien perdu votre temps, une fois de plus.