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Résumé ( Spoil ! )

Cette quête ne peut être commencée et effectuée que pendant la durée de l'événement saisonnier correspondant. Pour plus de détails, veuillez consulter le site The Lodestone.

La maréchale des chevaux vous prie d'aller défendre la cause de cette monture peu connue qu'est le cheval dans les cités de Gridania, Limsa Lominsa et Ul'dah. Rapportez un kabuto de chacun de ces lieux pour attester de votre succès. L'ordre importe peu ; tout ce qui compte, c'est que vous remportiez les trois casques chevalins et que vous les rapportiez à la maréchale. Comme vous êtes sur place, commencez donc par Gridania, et une fois le kabuto cheval doré en votre possession, équipez-vous-en et retournez lui parler.

Vous portez fièrement le kabuto cheval doré, signe de votre succès à Gridania. Continuez votre prodigieuse chevauchée vers Limsa Lominsa et obtenez le kabuto rouge vermeil. Une fois que vous l'aurez, équipez-vous-en et montrez-la à la maréchale des chevaux.

Vous avez revêtu le kabuto cheval rouge vermeil, prouvant ainsi votre succès à Limsa Lominsa. Galopez désormais vers Ul'dah et obtenez le kabuto cheval noir ébène. Une fois que ce sera fait, équipez-vous-en et allez trotter fièrement devant la maréchale des chevaux.

Vous avez revêtu le kabuto cheval noir ébène, prouvant ainsi votre succès à Ul'dah. Ce tiercé de réussites étant accompli dans les trois cités, il ne vous reste qu'à réprimer toute opposition en parlant aux habitants de Gridania qui apprécient les chevaux. Portez crânement votre kabuto cheval sur la tête et allez recueillir leurs témoignages.

Gridania abrite des partisans du cheval. Restez déguisé en cheval et parlez à la chef du syndicat des convoyeurs-chocobos.

Vous relayez la voix du peuple, mais le syndicat des convoyeurs-chocobos n'est pas très accommodant. Sa représentante déclare même vouloir montrer à la maréchale des chevaux un chocobo d'une grande qualité pour remettre cette dernière à sa place. Soyez diplomate et portez votre kabuto cheval lorsque vous annoncerez la nouvelle à la jeune Orientale.

La maréchale est montée sur ses grands chevaux en apprenant l'intention de la représentante des convoyeurs-chocobos, mais elle compte bien relever le défi. Dissimulez votre consternation sous votre kabuto, et allez parler à la chef du syndicat, à l'écurie des murmures.

La rencontre entre la maréchale des chevaux et la chef du syndicat des convoyeurs-chocobos tourne rapidement à la chamaillerie. Cependant, grâce à l'intervention d'un mystérieux aventurier, nos deux acolytes n'en sont pas venues aux mains. Retournez à Gridania parler à la maréchale des chevaux.

Celle-ci vous vous remercie pour vos efforts et vous révèle qu'elle va collaborer avec le syndicat des convoyeurs-chocobos pour trouver un moyen de faire coexister ces deux types de montures. Un jour, les habitants d'Éorzéa ne seront plus surpris à la vue d'un cheval, mais votre déguisement restera à jamais dans les mémoires.

Déroulement

  1. Parler à la maréchale des chevaux avec le kabuto cheval doré équipé.
  2. Parler à la maréchale des chevaux avec le kabuto cheval rouge vermeil équipé.
  3. Parler à la maréchale des chevaux avec le kabuto cheval noir ébène équipé.
  4. Parler de chevaux aux gens de Nouvelle Gridania et Vieille Gridania avec le kabuto cheval sur la tête.
  5. Parler à la chef du syndicat des convoyeurs-chocobos avec le kabuto cheval sur la tête.
  6. Parler à la maréchale des chevaux avec le kabuto chevaléquipé.
  7. Parler à la chef du syndicat des convoyeurs-chocobos à l'écurie des murmures avec le kabuto cheval sur la tête.
  8. Parler à la maréchale des chevaux.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Maréchale des chevaux : Vous devez défendre la noble cause du cheval à Gridania, Limsa Lominsa et Ul'dah, et offrir votre soutien à mes subordonnés dans ces trois cités.
Si vos efforts portent leurs fruits, vous recevrez des kabuto colorés. Il en existe trois différents: un doré, un noir ébène et un rouge vermeil. Récupérez-les et revenez m'informer du succès de votre mission.
Monseigneur, sachez qu'en Orient, nous disons que le voyage appartient à l'homme, mais que la destination n'appartient qu'à son maître. Ainsi, même si la tradition veut que l'obtention de ces kabuto passe par un processus bien défini, l'ordre des défis n'appartient qu'à vous.
Nous devons commencer par le doré, car il ouvre cette portion du cœur où règne la convoitise. Ne soyez pas dérouté par mes paroles: nous, en Orient, n'hésitons pas à laisser s'exprimer nos désirs.

Maréchale des chevaux : Je vois que vous avez le kabuto cheval doré. J'en conclus que Gridania a désormais conscience de la beauté des équidés.
Ce que tous définissent par beauté n'est qu'un songe à travers duquel résonne le martèlement des sabots, en Éorzéa tout comme dans l'Est lointain.
Ensuite, le rouge, car il ne faut pas oublier, monseigneur, que là où l'on trouve de l'or, le sang ne tarde jamais à être versé. Le kabuto cheval rouge vermeil de Limsa Lominsa attend un partisan digne de le recevoir.

Maréchale des chevaux : Je vois que vous avez le kabuto cheval rouge vermeil. Je présume donc que Limsa Lominsa sait désormais à quel point le cheval est un animal puissant.
Si vous n'aviez pas aidé notre lieutenant blessé, monseigneur, les Limséens n'auraient pas su à quel point les équidés peuvent s'avérer utiles.
Pour finir, le noir, qui rappelle ce changement d'état que les braves comme les lâches nomment la mort. Vous devez vous douter que je parle du kabuto cheval noir ébène d'Ul'dah.

Maréchale des chevaux : Je vois que vous avez le kabuto cheval noir ébène. Je présume donc que les Uldiens ont pris conscience de la rapidité du cheval.
Les équidés possèdent une grâce et une rapidité inégalées ! Cette cité que l'on nomme Ul'dah, monseigneur, aurait bien besoin de cette grâce pour se démarquer un peu avec tout le sable qui l'entoure.
Doré, noir ébène, rouge vermeil. Très bien, je valide votre mission. Mais une autre affaire nous attend. Vous avez piqué la curiosité des gens. Ils ne cessent de parler de chevaux, désormais.
Pourtant, d'autres refusent encore tout contact avec ce noble animal. Nous devons frapper fort, monseigneur.
Le syndicat des convoyeurs-chocobos continue d'animer cette haine envers les équidés. Ils tiennent le marché de l'acheminement de marchandises d'une main de fer grâce à leurs chocobos et ne toléreront aucun rival.
Pourtant, ne dit-on pas dans le Nord-Est que “lorsque les gens parlent, ce sont les dieux qui s'expriment” ? Le syndicat aura du mal à résister si l'opinion publique s'exprime en faveur des équidés.
Monseigneur, vous savez sûrement qu'en Orient, l'action prime sur les belles paroles. Revêtez à nouveau votre kabuto cheval, car une mission de la plus haute importance vous attend. Je compte sur vous pour recueillir les témoignages des gens.

Mellaine : Hum, est-ce là le kabuto cheval dont tout le monde parle ? Il me rappelle un monstre légendaire que j'ai vu dans le Coerthas.
Une licorne, si je ne m'abuse. Je n'en ai vu qu'une fois, mais c'est le genre de choses que l'on n'oublie pas. Les chevaux aussi sont magnifiques, n'est-ce pas ? Si seulement nous pouvions en avoir par ici...

Nicoliaux : C'est un cheval, n'est-ce pas ? Je connais ces animaux sur le bout des doigts !
Ils sont plus rapides que tous les autres animaux. Un aventurier d'Ul'dah raconte qu'il en a vu un, une fois... Il a juste eu le temps de l'apercevoir du coin de l'œil avant qu'il ne disparaisse. J'aimerais tant en avoir un...

Ceinguled : Je mentirais si je vous disais que votre... kabuto, c'est ça ? Bref, si je vous disais que votre kabuto ne me plaît pas du tout. Je commence à l'apprécier.
Surtout depuis que j'ai appris que l'animal qu'il représente est un véritable monstre de puissance. Si jamais il pouvait nous donner un avantage tactique contre les Garlemaldais, ce serait une bénédiction.

Chef du syndicat des convoyeurs-chocobos : Oh, pour l'amour des Douze, nous avons passé la matinée à répondre à des questions sur les chevaux ! Nous nous occupons de chocobos, bon sang !
En quoi puis-je vous aider ? Oh, vous êtes l'un de ces activistes prônant l'utilisation des équidés. Vous venez nous harceler, c'est ça ?
Vous êtes la voix du peuple ? De quoi s'agit-il ? C'est un journal ? Oh... je vois... “J'aimerais tant en avoir un”, “Avantage tactique”, “Si seulement nous pouvions en avoir ici”...
Ce ne sont que des témoignages que vous avez recueillis. Ça ne me fera pas changer d'avis !
Éorzéa est une société qui repose depuis toujours sur le transport. Nous sommes une économie basée sur les chocobos, vous savez. Les chevaux n'ont pas leur place ici.
Dites non au transport alternatif ! Si cette maréchale des chevaux insiste pour trotter sur nos plates-bandes, nous allons montrer nos serres, soyez-en sûr.
Vu que vous les avez aidés, vous ne pouvez pas nous refuser un coup de main. J'ai commandé le meilleur chocobo qu'on puisse trouver dans tout le Coerthas. Demandez à la maréchale des chevaux de venir à l'écurie des murmures, et nous la remettrons à sa place.

Maréchale des chevaux : Vous avez transmis la parole du peuple au syndicat ? J'imagine qu'ils étaient mortifiés.
... Je le savais. La réponse pressentie n'est pas toujours la réponse attendue. Les membres de ce syndicat sont irrationnels et partiaux, et leur esprit obtus fait honte même aux chocobos.
Une économie basée sur les chocobos, n'importe quoi... Disons plutôt une longue tradition dénuée de concurrence, si vous voulez mon avis.
Je viens de loin pour alimenter les flammes de l'harmonie en Éorzéa, monseigneur, et le syndicat des convoyeurs-chocobos tente par tous les moyens de réduire nos efforts à néant. Je ne peux tolérer cela.
J'accepte de relever ce défi. Monseigneur, menez-moi jusqu'à l'écurie des murmures. J'y affronterai les partisans de ces oiseaux de malheur.

Maréchale des chevaux : C'est un véritable honneur de faire votre connaissance, chef du syndicat des convoyeurs-chocobos. Je suis la maréchale des chevaux.

Chef du syndicat des convoyeurs-chocobos : Merci d'être venue, chère voyageuse venue d'Orient. Réglons cette affaire une bonne fois pour toutes, si vous êtes d'accord.
Un chocobo d'exception sera bientôt là. Dès lors, nous pourrons chacune rentrer chez nous, car il sera évident que nous n'avons aucunement besoin de chevaux en Éorzéa.

Maréchale des chevaux : Votre courtoisie initiale était comme un crissement d'ongles sur une ardoise. Vous dites que les choses seront évidentes, mais la seule chose évidente, c'est que vous avez perdu l'esprit.
Grâce à cet aventurier à la fois magnifique, rapide et puissant, Éorzéa veut en savoir plus sur les équidés. C'est ça qui est évident.

Chef du syndicat des convoyeurs-chocobos : Pardon ?! Vous pensez que c'est une preuve ? Le dernier aventurier qui avait un couvre-chef ridicule comme ça vendait des gâteaux. Les gens en ont parlé quelques jours et puis voilà !

Maréchale des chevaux : Un couvre-chef ridicule ? Cette pièce est un véritable chef-d'œuvre d'artisanat en l'honneur de mon noble destrier. Oh, quelle bassesse !

Chef du syndicat des convoyeurs-chocobos : Bassesse ?! Je parie que personne à Éorzéa ne comprend ce que vous racontez ! Quant à vos précieux chevaux, ce ne sont que des licornes au front nu. Complètement nu !

??? : Cessez de vous quereller ! On dirait deux enfants qui ne veulent pas partager une friandise !

Chevalier exemplaire : L'écurie des murmures commande la crème des chocobos du Coerthas, alors me voilà... Dites-moi, que se passe-t-il donc pour qu'on me fasse attendre de la sorte ?

Chef du syndicat des convoyeurs-chocobos : Mais... Cette armure... C'est Haurche... Non, impossible. Pardonnez-moi, mais qui êtes-vous ? Quand je commande un chocobo, je ne veux pas que ce soit un livreur déguisé en cheval qui me l'apporte !

Chevalier exemplaire : J'ai acheté ce casque à un aventurier de passage. Il inspire la puissance, c'est pour cela qu'il m'a plu.
Chère voyageuse d'Orient, j'ai l'honneur d'avoir vu le jour dans une famille dont les armoiries comportent une licorne. Qu'ils aient ou non une corne sur le front, je comprends tout à fait votre amour pour les destriers de votre contrée.
Leurs muscles bandés sous leur peau fine, le rythme de leurs sabots martelant le sol, la douceur de leur museau, sans oublier la profondeur insondable de leur regard. Ah, les chevaux...
Mais je viens également du Coerthas, où l'amour des chocobos coule dans nos veines. Lequel de ces deux animaux est le meilleur ? Franchement, je ne puis le dire.

Maréchale des chevaux : Vous ne pouvez le dire ? Ce soliloque ne servait donc à rien. Monseigneur ne semble pas comprendre qu'il en va de mon honneur de prouver la supériorité du cheval sur ce... vulgaire volatile.

Chevalier exemplaire : Quoi qu'il en soit, aucune de vous n'a raison. La meilleure des créatures ici n'est ni le cheval ni le chocobo...
Il s'agit de mon camarade d'aventures, <joueur> !
Regardez un peu ces marques sur son kabuto ! Il s'est donné tant de mal pour devenir un cheval... et, contre toute attente, il a réussi.
La capacité d'obéir à des ordres quasi impossibles, le talent pour les exécuter... Pour un guerrier comme moi, il n'y a pas plus important chez une monture !
<Joueur>, deviens ma monture personnelle ! Aucune créature à plumes ou à sabots ne pourra t'égaler. Je te donnerai les meilleures carottes, je te curerai les ongles de pieds...

Chef du syndicat des convoyeurs-chocobos : Monseigneur... nous avons compris. Vous pouvez arrêter. Je vous en prie.

Maréchale des chevaux : Je suis d'accord avec elle. Monseigneur, que diriez-vous si nous reprenions cette discussion plus tard, au calme, sans ces lubies étranges qui me mettent mal à l'aise ?

Chevalier exemplaire : Très bien, si c'est ce que vous voulez, je n'ai plus rien à faire ici. Je vais reprendre le chocobo et partir en direction du Nord.
<Joueur>, c'était un plaisir de te revoir. Nous nous reverrons à notre camp, n'est-ce pas ? Tu me raconteras tes aventures au coin du feu.
Que la transition vous apporte sa bénédiction !

Maréchale des chevaux : Je n'éprouve que tristesse et regrets en vous voyant. Je tremble rien qu'à l'idée des absurdités qui seraient sorties de ma bouche sans l'interruption du seigneur ishgardais.
C'est curieux comme les meilleures des intentions peuvent se changer aussi vite en pure malveillance. Monseigneur a tant à m'enseigner.
La chef du syndicat des convoyeurs-chocobos regrette ses paroles cruelles. Nous avons décidé de nous réunir à nouveau dans de meilleures conditions pour trouver ensemble un moyen de collaborer.
Les gens ont pu donner leur avis, tout cela grâce à vous. La route est toute tracée pour le cheval. Il ne reste plus qu'à obtenir un jour l'accord du syndicat des convoyeurs-chocobos, et nous gagnerons alors Éorzéa au galop.
Nous lui avons demandé énormément, mais notre cher aventurier a toujours été là pour répondre à notre appel. Veuillez accepter ce gage d'amitié. Il s'agit d'un plat traditionnel propre à ma contrée que l'on mange lors de la fête de la transition.
Que la transition vous apporte sa bénédiction.