Les âmes des revenants

Les âmes des revenants

Niveau 45

PNJ client : Guolgeim
Mor Dhona ({{{fullPosition}}})

Prérequis

Classe : Toutes

Description

Guolgeim a besoin d'aide pour transporter du matériel.

Récompenses

 12 420 405

Déverrouille

 L'appât du gain (Niveau 45)

Résumé ( Spoil ! )

Le transport du matériel du camp dévasté est la responsabilité de Guolgeim, mais ce travail l'a exténuée. Aidez-la en commençant par utiliser la masse qu'elle vous a remis sur les caisses abandonnées et récupérer ce qu'elles contiennent.

Vous avez rassemblé les boîtes de fournitures. Apportez-les à Guolgeim.

Guolgeim vous a raconté les tristes événements qui ont précédé la création de l'actuel camp du Glas des revenants. Vous vous êtes rendu compte que sa fatigue n'était pas seulement physique...

Déroulement

1. Utiliser les masses sur les 3 caisses abandonnées.
   • Aucun monstre n'apparaîtra.
2. Donner les boîtes de fournitures à Guolgeim.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Guolgeim : Dites-moi, vous n'êtes pas d'ici, vous ? Vous l'ignorez sans doute, mais il y a un camp dévasté à l'ouest d'ici.
Eh bien, moi, je suis chargée d'apporter ici tout le matériel laissé là-bas... mais à vrai dire, je suis complètement lessivée, et je n'ai plus la force de continuer.
Si vous le voulez bien, votre aide serait la bienvenue. Tenez, prenez ces masses. Cela vous servira à ouvrir les caisses abandonnées et récupérer les boîtes de fournitures qu'il y a dedans. J'aimerais que vous m'en rapportiez trois.

Guolgeim : Ah, c'est vous ? Vous êtes allé récupérer le matériel laissé au camp dévasté ?
Ah, merci beaucoup. C'est très gentil de votre part... Vous savez, j'ai un pincement au cœur à chaque fois que j'y vais.
Cet endroit a été dévasté par la chute d'une énorme boule de feu lors du Fléau, il y a cinq ans. Avant ça, on l'appelait le camp du Glas des revenants.
C'est le même nom qu'ici... Un nom qui avait été donné en mémoire des nombreuses victimes d'un terrible accident arrivé là-bas autrefois...
Comme vous le voyez, le sort semble s'acharner sur nous. Peut-être que c'est ce nom qui porte malheur. J'espère que non, parce que je ne voudrais pas qu'il arrive quelque chose ici aussi.
En tout cas, à cause de ces tragédies répétées, j'ai toujours l'impression que les fantômes des défunts me regardent avec des yeux remplis de douleur lorsque j'y vais... et ça, croyez-moi, c'est horriblement éprouvant.