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L'ambassadeur d'Ishgard

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Résumé ( Spoil ! )

Alphinaud a obtenu une audience avec sire Aymeric, le capitaine général des templiers d'Ishgard. Ce dernier souhaite faire votre connaissance et le jeune Élézen pense que votre présence pourrait l'aider à s'attirer les bonnes grâces du militaire. Allez voir Minfilia et demandez-lui la permission d'accompagner Alphinaud dans le Coerthas.

Depuis la bataille contre l'empire de Garlemald à Pleurargent, la cité-État d'Ishgard a fermé ses portes aux étrangers et rompu ses liens avec les autres nations d'Éorzéa. Cependant, après vingt années de quasi-silence, les Ishgardais ont décidé de reprendre contact avec le monde extérieur. Le fait qu'ils aient accepté de rencontrer les Héritiers de la Septième Aube n'est certainement pas anodin. Alphinaud pense qu'ils cherchent à obtenir quelque chose que l'organisation possède et il compte bien en profiter pour tenter d'imposer ses idées. Allez au camp de la Tête du dragon et saluez Haurchefant en arrivant.

Haurchefant vous a accueilli très chaleureusement, comme à son habitude. Le commandant du camp de la Tête du dragon vous a dit que sire Aymeric était arrivé quelques minutes plus tôt et qu'il vous attendait dans la salle de réception. Sortez du bâtiment et demandez au garde qui se tient à l'entrée de vous conduire à l'intérieur.

Après les courtoisies d'usage, sire Aymeric et Alphinaud ont longuement débattu de la politique ishgardaise et de l'Alliance Éorzéenne. Hélas, les arguments du jeune commandant n'ont pas suffi à convaincre le capitaine général, qui est venu pour discuter d'un tout autre sujet. Les astrologues ishgardais ont prédit la résurrection de Midgardsormr, et sire Aymeric aimerait que les Héritiers se chargent de surveiller un éventuel réveil du grand dragon. Alphinaud a accepté, garantissant ainsi la poursuite des livraisons de marchandises vers le Glas des revenants. Alors que la réunion touchait à sa fin, un chevalier de la maison Fortemps a fait irruption dans la salle pour annoncer que Cœur-de-glace et ses disciples avaient attaqué le dernier convoi.

Déroulement

  1. Parler à Minfilia.
  2. Rendez-vous au Camp de la Tête du dragon au Coerthas et adressez-vous à Haurchefant (26:17).
  3. Parlez à la sentinelle des Fortemps (à droite en sortant de la caserne) pour terminer la quête.

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Alphinaud : Comme je vous l'ai dit, nous avons été gratifiés d'une opportunité rarissime : une audience avec un ambassadeur d'Ishgard.
La personne avec laquelle nous allons nous entretenir n'est autre que sire Aymeric, le capitaine général des templiers.
Appartenir à l'ordre des templiers est déjà un immense privilège en soi, alors vous vous doutez bien que leur chef jouit d'un rang particulièrement élevé dans la hiérarchie de la sainte Cité. Nous avons tout à gagner à obtenir ses faveurs.
Pour cette raison, je considère votre présence indispensable. Si sire Aymeric souhaite rencontrer le héros d'Éorzéa, eh bien je ne vois pas pourquoi nous lui refuserions le plaisir de votre compagnie.
Je pense que Minfilia comprendra ce que nous avons à gagner d'une telle rencontre et qu'elle vous donnera la permission de m'accompagner dans le Coerthas.
Peut-être pensez-vous que c'est un gâchis de vos compétences et que vous préféreriez vous illustrer autrement. Si c'est le cas, je me permets de vous rappeler que la plume est souvent plus efficace que l'épée.

Minfilia : ... Une rencontre avec un ambassadeur ishgardais ? Bien sûr, je pense que c'est une excellente idée.
Je n'ai reçu aucun rapport d'activité suspecte des grandes compagnies depuis ton départ et Urianger ne m'a toujours pas contactée. Je n'ai aucune mission urgente à te confier.
Si Alphinaud pense que ta présence peut être un plus, je ne vois aucune raison de refuser.
Alphinaud : Salut, Minfilia ! Je suppose que <Joueur> t'a expliqué la situation ?
Minfilia : Oui. Je ne te cache pas ma surprise, cependant. Les Ishgardais ont méprisé les relations avec les cités-États pendant des années. Je trouve ça étrange qu'ils acceptent de communiquer avec nous, tout à coup.
Alphinaud : C'est effectivement curieux.
Ishgard est une cité-État située au centre des montagnes d'Abalathia.
Elle est dirigée par l'Église orthodoxe ishgardaise, elle-même présidée par leur Archevêque.
Peu après la chute d'Ala Mhigo, il y a environ deux décennies, Ishgard a participé à la fondation de l'Alliance Éorzéenne avec Limsa Lominsa, Gridania et Ul'dah.
Mais ces amis des beaux jours ont quitté la coalition après que la légion impériale a été mise en déroute lors du “duel de Pleurargent”.
Minfilia : Le danger étant écarté, ils ont fermé leurs portes aux étrangers et sont restés cloîtrés à l'intérieur de leurs murs depuis.
Alphinaud : Les dirigeants des trois cités-États ont cherché à rouvrir le dialogue à plusieurs reprises, mais en vain... Ils ont ignoré les appels désespérés de leurs anciens alliés, même quand la menace du septième fléau planait au-dessus de leurs têtes.
Et lors de la bataille de Carteneau, où les hommes et les femmes se sont battus jusqu'à la mort pour défendre Éorzéa, leur bannière était honteusement absente...
J'ai moi-même essayé de convaincre les Ishgardais de revenir dans l'Alliance après le Fléau.
Je leur ai expliqué à maintes reprises que les cités d'Éorzéa devaient unir leurs forces pour préserver leur liberté et éviter de connaître le même sort qu'Ala Mhigo.
... Mais tous mes efforts n'ont abouti à rien.
Minfilia : Ne dis pas ça, Alphinaud. Je suis sûre que tes arguments ont fini par être entendus.
Alphinaud : Je l'espère... En tout cas, cette fois, ce n'est pas un simple messager que nous rencontrerons, mais un haut dignitaire qui a une réelle influence au sein du gouvernement ishgardais.
Bien sûr, je ne suis pas naïf au point de penser qu'ils viennent à nous par bonté de cœur. Ce changement d'attitude soudain cache forcément quelque chose, mais j'ignore quoi...
Enfin, ainsi va la diplomatie. Ils essayeront d'imposer leur ordre du jour à la table des négociations, et j'en ferai de même. Toutefois, je pense avoir de solides arguments pour les convaincre.
Minfilia : Je suppose que tu parles de l'Empire ? Si les rumeurs sont fondées, ce n'est qu'une question de temps avant que leurs armées ne foulent à nouveau le sol d'Éorzéa...
Alphinaud : Tout à fait. Sois certaine que je ne manquerai pas d'en faire mention lors de la réunion.
Il est temps pour nous d'y aller, <Joueur>. Je propose que nous nous retrouvions au camp de la Tête du dragon.
J'ai entendu dire que vous entreteniez des liens amicaux avec sire Haurchefant depuis notre séjour dans le Coerthas. C'est une très bonne chose. Il pourra peut-être nous aider à gagner plus facilement la confiance de nos interlocuteurs. Pensez à le saluer en arrivant.

Haurchefant : Aaah, <Joueur> ! J'attendais ta venue avec im-pa-tience !
Figure-toi que j'ai reçu des appareils de musculation de dernier cri. Tu veux les voir ? Ils sont dans ma chambre. On pourrait en profiter pour faire une petite session et comparer qui de nous deux a les plus beaux muscles. Et puis ce sera un bon moyen de te réchauffer, qu'en penses-tu ?
Alphinaud : Bonsoir, Sire Haurchefant. Vous avez parlé de se réchauffer ? Ça m'intéresse... (grelotte)
Haurchefant : Oh, Messire Alphinaud... Je ne vous attendais pas si tôt...
Alphinaud : Je n'interromps rien, j'espère ?
Haurchefant : Que nenni ! Je parlais du bon vieux temps avec <Joueur>. L'époque où vous cherchiez l'Entreprise me paraît déjà si loin...
Ah ! J'ai appris que vous aviez créé une nouvelle organisation. Si jamais vous avez besoin d'aide ou quoi que ce soit, n'hésitez surtout pas à faire appel à moi. La maison Fortemps est une amie des Héritiers de la Septième Aube, et par conséquent des Braves du Cristal.
En tout cas, je suis très heureux que le Saint Siège ait enfin accepté de vous accorder une audience.
Nul doute que vos découvertes à Manteneige ont contribué à ce progrès. Le regain d'activité soudain des hérétiques nous préoccupe tous.
À propos, Sire Aymeric est arrivé au camp il y a quelques dizaines de minutes et j'ai cru comprendre qu'il brûlait d'impatience de vous rencontrer.
J'imagine que vous devez être frigorifiés et je comprendrais tout à fait que vous préfériez prendre quelques minutes pour vous réchauffer près du feu.
Toutefois, si vous désirez passer aux choses sérieuses immédiatement, sachez que tous les préparatifs sont terminés. Vous n'avez qu'à informer le garde qui se tient à l'entrée de la salle de réception et il s'occupera du reste.
Alphinaud : Je suis complètement congelé, mais je crois qu'il vaut mieux éviter de trop faire attendre notre interlocuteur. Allons-y, <Joueur>.

Sentinelle des Fortemps : Messire <Joueur> des Héritiers de la Septième Aube, je suppose ? Si vous voulez bien vous donner la peine d'entrer... Je vais prévenir le Capitaine général.
Haurchefant : Ne t'inquiète pas. Si tu exposes ton cas avec confiance et clarté, tout devrait bien se passer.
Aymeric : Commandant Leveilleur, c'est à la fois un honneur et un plaisir de vous rencontrer.
Je suis Aymeric, capitaine général des templiers d'Ishgard.
Alphinaud : Alphinaud Leveilleur, à votre service.
Il y a longtemps que je rêve de m'entretenir avec vous, Sire Aymeric. J'espère que cette réunion sera une occasion propice d'échanger des informations et d'apprendre les uns des autres.
Aymeric : Vous devez être ce fameux aventurier dont on me chante les louanges depuis quelque temps. Je dois admettre que vos faits d'armes sont très impressionnants.
Tu n'es pas d'accord ?
Chevalière taciturne : Je ne peux qu'acquiescer...
Aymeric : Pour être honnête, je suis votre parcours avec un grand intérêt depuis plusieurs lunes.
Aujourd'hui, je suis heureux de pouvoir enfin mettre un visage sur votre nom.
Bien, installons-nous et mettons-nous au travail.
Alphinaud : Nous savons très bien que les Garlemaldais reviendront en force d'ici peu.
À cela s'ajoute le problème des Primordiaux. Les tribus barbares continuent d'invoquer leurs divinités, et chaque incarnation est plus puissante que la précédente.
Ishgard a été épargnée jusqu'ici, mais elle n'est pas à l'abri de ces menaces. Je vous l'ai déjà dit, mais votre nation aurait tout à gagner à revenir dans l'Alliance Éorzéenne.
Aymeric : Une fois encore, je me dois de rejeter cette proposition.
Alphinaud : Puis-je savoir pour quelle raison ?
Aymeric : Il y a certes des Ixali dans le Coerthas, mais leur présence ne nous concerne pas. Le territoire qu'ils revendiquent se trouve à Sombrelinceul et leur haine se dirige contre les Gridaniens.
Le Saint Siège a par conséquent jugé qu'il s'agissait d'une affaire interne, et, comme vous le savez, Ishgard ne se mêle pas des affaires des autres nations.
Même si ce n'était pas le cas, notre armée est entièrement mobilisée dans le conflit contre les Dravaniens. Nous n'avons pas les ressources suffisantes pour nous occuper de ces hommes-bêtes.
En ce qui concerne les Garlemaldais, nous savons à quoi nous en tenir. Nous avons observé l'éveil et l'expansion de l'Empire, et nous avons conscience qu'ils ne devraient plus tarder à reprendre leur marche vers Éorzéa.
Alphinaud : Ne croyez-vous donc pas qu'il serait dans notre intérêt de faire front commun contre l'envahisseur ?
Aymeric : Un jour, peut-être, mais pas pour le moment.
Gaius van Baelsar est mort et sa légion de conscrits n'a pas la motivation suffisante pour lancer un assaut. Nous pensons qu'ils vont rester retranchés derrière les murs de leurs forteresses pendant un certain temps.
Alphinaud : Je ne comprends pas. Si Ishgard n'est pas disposée à changer sa politique, alors pourquoi avez-vous consenti à cette rencontre !?
Aymeric : Si je représente l'Archevêque, je ne peux en aucun cas prendre de décisions à sa place, et ce quelles que soient mes convictions personnelles.
Alphinaud : Que voulez-vous dire ?
Aymeric : Je n'ai malheureusement pas le pouvoir de changer la politique ishgardaise, mais je peux toutefois jouer de mon influence pour faire avancer les choses.
Des personnes haut placées ont appris que la famille Fortemps avait envoyé des marchandises au Glas des revenants, et elles ont demandé que cela cesse immédiatement. Certaines ont même exigé une interdiction pure et simple de l'aide aux nations étrangères.
Je peux m'assurer qu'aucune loi ne soit réformée et faire en sorte que les livraisons se poursuivent sans interruption.
Haurchefant : Vous feriez ça pour nous, Sire Aymeric ?
Aymeric : Oui. Mais il y a une condition.
Récemment, nous avons constaté un pic d'activité chez les Dravaniens. Nous n'arrivions pas à comprendre la raison de cette agitation.
Mais nos astrologues ont observé des changements inquiétants dans les cieux. L'étoile du dragon brille d'une lueur plus vive que d'habitude... On raconte qu'elle présagerait la résurrection de Midgardsormr.
Alphinaud : Le dieu gardien du lac de Pleurargent ? C'est absurde !
Aymeric : J'ai eu l'occasion d'observer à plusieurs reprises le dragon enroulé autour de l'Agrius. Chaque fois, je me suis demandé comment serait notre monde aujourd'hui s'il était toujours en vie. Rien que d'y penser me donne des frissons...
Comme tous les Ishgardais, je suis inquiet. Toutefois, ces seules observations ne sont pas suffisantes pour dépêcher des hommes dans le Mor Dhona. Comme je l'ai déjà dit, nous n'avons pas les ressources humaines suffisantes.
Alphinaud : Je crois que je commence à comprendre. Vous interviendrez en notre faveur si nous acceptons de surveiller un éventuel éveil de Midgardsormr pour vous, c'est ça ?
Aymeric : Acceptez-vous ces conditions ?
Alphinaud : Oui. Je veillerai à ce que vous soyez tenu informé des moindres développements.
Je regrette que nous n'ayons pas pu arriver à un accord sur les autres questions, mais je comprends que vous n'êtes pas en position de prendre de telles décisions.
Malgré tout, j'espère que ce que nous avons accompli aujourd'hui prouvera à vos collaborateurs que nous pouvons travailler ensemble vers un but commun. Qui sait, cet accord pourrait être le premier pas vers une Éorzéa unie... ?
Aymeric : Seul l'avenir nous le dira, Commandant.
Haurchefant : Qu'est-ce que vous faites !? Nous sommes au milieu d'une réunion !
Sentinelle des Fortemps : Les hérétiques ! I-ils ont attaqué le convoi de marchandises !
Les hommes qui transportaient la cargaison... ont dit que c'était Cœur-de-glace !
Haurchefant : Par la Conquérante ! Toutes nos précautions n'ont servi à rien !?