L'idole des jeunes
L'idole des jeunes | Niveau 50 |
PNJ client : Hozan
Thanalan occidental, Baie des Vêpres (11:14)
Prérequis
Classe : Combattants et mages
Papy fait de la résistance (Niveau 50)
Description
L'heure du départ a enfin sonné pour Hozan et les siens.
Récompenses
Déverrouille
Bienvenue chez vous (Niveau 50)
Résumé ( Spoil ! )
Compte tenu du nombre de personnes et de la quantité de bagages à acheminer, les Domiens ont décidé de se déplacer en petits groupes. Hozan et sa famille vont avoir le privilège d'être les premiers à fouler le sol d'Ul'dah, où ils feront une halte avant de poursuivre leur long périple vers le Mor Dhona. Allez parler au cocher hyur qui attend près de l'entrée du hameau.
Une créature dangereuse a été aperçue près de Martelterre. Les lames de cuivre ont promis de la chasser, mais le cocher ne leur fait pas confiance. Partez inspecter les lieux et assurez-vous qu'aucun monstre ne rôde à proximité de la route que doit emprunter la caravane.
La créature qui menaçait le chemin menant à Ul'dah n'est plus qu'un mauvais souvenir. Portez la bonne nouvelle au cocher hyur, à Horizon.
Les premiers Domiens sont arrivés sains et saufs à Ul'dah. Retrouvez Alphinaud aux Sables mouvants et faites-lui un compte rendu de la situation.
Fidèle à sa réputation, Alphinaud était déjà au courant pour les réfugiés. Gigiyon lui a dit que les autres ne devraient plus tarder à arriver à Ul'dah. Après avoir passé de nombreuses semaines confinés sur un bateau, ces derniers vont pouvoir profiter de tout le confort qu'offre la cité.
Déroulement
- Parler au cocher hyur.
- Inspecter l'endroit indiqué à Martelterre.
- Un œil errant de niveau 50 apparait.
- Parler au cocher hyur, à Horizon.
- Parler à Alphinaud, aux Sables mouvants.
Dialogues
Dialogues ( Spoil ! )
Hozan : Vous l'avez sans doute compris en voyant la quantité de bagages qui s'amoncellent ici et là, mais nous ne pourrons pas tout transporter en un seul voyage. Nous avons donc décidé de fractionner le convoi en plusieurs groupes distincts.
Le premier se constituera essentiellement des anciens, des enfants ainsi que de Dame Yugiri et ses proches conseillers. Bien sûr, je serai aussi de la partie. Il faut bien que quelqu'un s'occupe de surveiller nos chers garnements une fois sur place.
Bon, ne perdons pas une minute de plus en bavardages. Nous avons déjà suffisamment fait attendre ce brave cocher.
Cocher hyur : Ça y est ? Tout le monde est prêt ? C'est pas trop tôt !
Avant de partir, j'aimerais vous demander un petit service.
Un soldat des lames de cuivre est venu me voir, il y a quelques minutes, pour me prévenir qu'un monstre dangereux avait été aperçu du côté de Martelterre.
Il m'a dit que ses hommes et lui allaient s'en occuper, mais je ne leur fais pas confiance ! Ces vauriens sont juste bons à voler les alliances des honnêtes citoyens, rien de plus !
Est-ce que ça vous dérangerait d'aller inspecter les lieux, s'il vous plaît ? Je ne voudrais surtout pas qu'il arrive quelque chose aux enfants, vous comprenez...
Cocher hyur : La voie est libre, vous dites ?
Bien, dans ce cas... en voiture Simone !
Hozan : Merci d'être allé abattre cette créature pour nous. Les enfants se sentiront certainement plus en sécurité désormais.
Homei : Alors comme ça vous êtes un... c'est quoi le mot déjà ?... Aventurier, oui, voilà. Les Éorzéens ont beaucoup de chance d'avoir de tels héros pour défendre leurs intérêts.
Hozan : Là d'où nous venons, le métier d'aventurier n'existe pas. C'est fort regrettable, d'ailleurs. Si nous avions eu des combattants de votre trempe à nos côtés, Doma n'aurait jamais connu une telle catastrophe...
Enfin, nous ne pouvons nous en prendre qu'à nous-mêmes. Après tout, c'est nous qui avons versé le premier sang... Même si c'est difficile, nous devons accepter cette défaite.
Homei : Dame Yugiri a perdu nombre de ses camarades lors du conflit. Malgré tout, elle n'a jamais abandonné et elle est restée sur le champ de bataille jusqu'au bout.
Aujourd'hui encore, elle continue à se battre pour les siens. À peine avait-elle foulé le sol de cette contrée, qu'elle cherchait déjà un endroit où nous pourrions nous installer et vivre en paix. Je n'aurais pas assez d'une vie pour lui payer ma dette...
Hozan : La meilleure façon de la remercier, c'est d'embrasser notre nouvelle vie de colons !
J'ai entendu dire que le Glas des revenants était une colonie très dynamique. Vous pouvez croire que les Domiens feront tout leur possible pour la rendre encore plus prospère !
Yozan : M'sieur, M'sieur ! Je peux vous poser une question ? Pourquoi vous avez choisi de devenir aventurier ?
Ah, j'en étais sûr ! Il me suffit de vous regarder pour comprendre ! Vous avez l'air super fort !
Koharu : Dites, dites ! Vous êtes déjà allé au Glas des revenants ? C'est comment ?
Ouaaah ! J'ai aucune idée de ce que c'est, mais ça a l'air génial ! Hi hi hi !
Yozan : Arrête, Koharu ! C'est moi qui parlais avec lui !
Dites, je voudrais savoir : comment vous avez fait pour devenir aussi fort ?
Je m'en doutais ! Vous connaissez ce pays comme votre poche, pas vrai ? C'est quoi l'endroit le plus dangereux que vous avez visité ?
Hozan : Allez, on arrête les questions maintenant ! Messire l'aventurier est très occupé.
Koharu : Mais euuuh... J'avais encore plein de choses à lui demander...
Yozan : Ah! J'ai juste une dernière question ! Est-ce que Koharu et moi on pourra un jour devenir des aventuriers aussi forts que vous ?
C'est vrai !? Trop bien ! C'est décidé : quand je serai grand, je serai aventurier !
Koharu : Moi aussi !
Yozan : J'ai une idée ! Quand on sera arrivés au Glas des revenants, on aura qu'à former le clan des aventuriers de Doma !
On protégera les gens de Doma de tous ceux qui veulent leur faire du mal !
Koharu : C'est une super idée ! Je suis sûre que les autres vont adorer !
Hozan : Je sais que la voie est libre de tout danger, mais je préférerais que vous nous accompagniez, juste au cas où...
Alphinaud : Les premiers Domiens sont arrivés sains et sauf à Ul'dah. Les autres ne devraient plus tarder à quitter la baie des Vêpres, si j'en crois Gigiyon. Tous pourront profiter dès ce soir d'une chambre confortable à l'auberge du Sablier.
Quant à nous, nous avons encore du pain sur la planche !