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Face-à-face inattendus

De Le wiki Final Fantasy XIV Online - JeuxOnLine
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Résumé ( Spoil ! )

À compléter

Déroulement

Dialogues

Dialogues ( Spoil ! )

Alphinaud : Avec les informations que vous avez obtenues, notre recherche de la chef des révolutionnaires devrait être plus aisée.
Mais au fait, vous n'auriez pas vu Tataru ?
Elle est partie interroger les habitants de Brouillasse comme nous, mais ce quartier n'étant pas réputé sûr, j'ai peur qu'il lui arrive quelque chose. Retrouvons-la au plus vite.

Alphinaud : Je ne la vois nulle part... Où a-t-elle bien pu passer ? ...
Tataru : Au-au secouuurrs !
Alphinaud : Regardez ! On dirait bien Tataru, là en bas !
Elle est en danger ! Dépêchons-nous, <Joueur> !
Type misérable : Qu'est-ce que t'as à fouiner par ici, toi !?
Tataru : C-c-calmez-vous, s'il vous plaît ! Je vous jure que je ne faisais rien de mal !
Alphinaud : Tataru ! Qu'est-ce qui se passe ?
Type misérable : C'est pas tes oignons, gamin ! Dégage de là avant que je t'en colle une !
Type crasseux : ... Mais j'vous r'connais, vous deux ! Vous arrêtez pas d'fricoter avec les Fortemps !
Type misérable : Aaah, je vois... Alors comme ça, on exécute les basses besognes des nobles, hein ? Vous êtes venus pour nous faire accuser d'hérésie, c'est ça ?
Alphinaud : Vous faites erreur ! Notre allégeance va au peuple d'Ishgard tout entier, sans distinction de classe ! Vous devez nous croire !
Type misérable : T'as la langue bien pendue pour un p'tit toutou de la noblesse !! J'vais t'donner une bonne raison de couiner, moi !
??? : Arrière, vous deux ! J'ai dit qu'on ne touchait pas aux femmes et aux enfants !
Type crasseux : Hi... Hilda ?
Hilda : Bande d'idiots... Si jamais vous posiez ne serait-ce que le petit doigt sur ce jeune homme, son amie vous en ferait voir de toutes les couleurs.
Ce n'est pas tous les jours que des héros de votre trempe nous rendent visite. Que nous vaut cet honneur ?

Hilda : Ce n'est pas ici que nous allons pouvoir discuter tranquillement. Je vous propose plutôt de nous retrouver au Chevalier oublié.

Hilda : ... En allant terrasser Nidhogg, vous pensez avoir découvert des secrets cachés depuis des siècles par le Saint-Siège... Je comprends mieux maintenant. J'avoue que je suis impressionnée.
Type misérable : Euh... Impressionnée par quoi ? J'y comprends rien du tout à ce charabia, moi !
Hilda : Imbécile ! Il s'agit justement des quatre maisons d'Ishgard et de leur prétendue noblesse. Elles se gaussent sans arrêt de leur lignée qui remonterait au roi Thordan et à ses douze chevaliers, les fondateurs de notre nation...
Mais si l'on en croit nos nouveaux amis ici présents, les nobles comme les roturiers auraient les mêmes ancêtres. On comprend tout de suite mieux pourquoi certaines personnes haut placées ne voudraient pas que ça se sache.
Et donc, le capitaine général des templiers veut confronter l'Archevêque en personne à ce sujet...
Type crasseux : Et vous croyez vraiment qu'ce vieux croulant va avouer quoi qu'ce soit ? Il lui f'ra plutôt trancher la gorge pour hérésie, ouais !
Hilda : Justement, réfléchis un peu ! Si les choses en arrivent là, ça ne fera que prouver la véracité de cette rumeur. Ce serait comme si Thordan VII avouait son crime sur la place publique.
Alphinaud : L'avenir d'Ishgard est désormais entre les mains de sire Aymeric. Nous ne l'abandonnerons pas, et j'ose espérer que vous non plus.
Hilda : Hmm, vous m'avez l'air de bonne foi, en tout cas... Un tel dévouement est plutôt rare chez les étrangers. En quoi pouvons-nous vous être utiles ?
Alphinaud : Si le capitaine général ne revient pas sain et sauf dans les heures qui viennent, nous irons le tirer du Saint-Siège, par la force s'il le faut. Pour ce faire, nous aurons besoin de tous ceux prêts à se porter volontaires.
Hilda : Qui va là !?
Charibert : Hmmm ? Ça sent le rat d'égout, par ici... Ou devrais-je dire, l'hérétique...
Mais qui vois-je ? Les invités du comte de Fortemps ! Qui aurait cru que vous vous rouleriez dans la même fange que tous ces porcs ?
Maintenant que j'y pense, c'est même probablement vous qui êtes à l'origine du complot contre Son Éminence... Ne me dites pas que vous étiez justement en train de préparer votre coup ?
Heureusement que Halone guide nos pas... Bientôt, par sa grâce, nous réduirons en poussière tous les animaux de votre espèce, et nos terres cesseront d'être souillées par votre présence !
Hilda : Permettez-moi de vous dire que pour quelqu'un qui se considère noble, vous êtes d'une vulgarité sans nom. Voulez-vous que nous réglions cette affaire sur-le-champ ?
Charibert : Votre stupidité m'effraiera toujours. Avez-vous seulement conscience de ce que vous êtes en train de faire ?
Puisque vous avez tellement envie de mourir, je vous propose de régler ça dehors. Rira bien qui rira le dernier, bande de sales cloportes !

Charibert : Argh ! Je dois admettre que les soi-disant héros n'ont pas totalement usurpé leur réputation...
Lucia : Ça suffit, Charibert !
Charibert : Hmpf ! Ce n'est que partie remise...
Hilda : Reviens tout de suite, espèce de lâche !
Alphinaud : Laissez-le partir ! De toute manière, nous n'aurions jamais dû nous battre ici. Des innocents auraient pu y laisser la vie.
Lucia : On dirait que vous vous êtes également mis les chevaliers de l'Azur à dos...
Haurchefant : Vous voulez dire qu'ils ont déjà rendu visite aux templiers ?
Lucia : Oui, Grinnaux est venu... pour annoncer que sire Aymeric avait été accusé d'hérésie et emprisonné dans les geôles du Saint-Siège. Ses hommes demeureront sous le commandement des chevaliers de l'Azur jusqu'à ce que le jugement soit rendu.
Haurchefant : Oh non... Voilà pourquoi des templiers se trouvaient parmi nos assaillants...
Lucia : Ceux qui sont restés fidèles à notre capitaine général sont désormais sous mes ordres. Dès que tout sera prêt, nous lancerons l'offensive.
Malheureusement, une grande partie de nos soldats a catégoriquement refusé de se joindre à nous. Ils considèrent notre plan comme un acte de haute trahison et ont décidé de s'allier aux chevaliers de l'Azur postés au Saint-Siège. En d'autres termes, nos troupes ne sont plus que l'ombre d'elles-mêmes...
Hilda : Et sans vouloir être pessimiste, j'ai l'impression que vous êtes attendus...
Lucia : C'est toi qui es à la tête de cette faction, si je comprends bien ?
Hilda : Dites donc, on n'a pas gardé les cochons ensemble, que je sache ! Mon nom est Hilda, et oui, c'est moi qui commande ici. Mais inutile de gaspiller votre salive, car ce charmant jeune homme m'a déjà convaincue de vous prêter main-forte.
Oh, ne me remerciez pas autant, vous allez me faire rougir ! Alors, quand est-ce qu'on passe à l'action ?
C'est que j'ai envie de botter des fesses de nobliaux, moi, et c'est pas tous les jours que j'en ai l'occasion ! Vous pouvez compter sur moi et mes hommes pour faire la révolution ! Plutôt deux fois qu'une !

Hilda : La forme de mes oreilles vous intrigue, n'est-ce pas ? Vous n'aviez jamais vu de métisse auparavant ?
À voir les têtes que vous faites, je devine que vous savez déjà tout de mes origines.
Sachez qu'il n'est pas rare que des nobliaux abusent de leur position pour fricoter avec leurs servantes. Bien sûr, les pauvres femmes qui ont la malchance de tomber enceintes se retrouvent immanquablement à la rue, comme c'est arrivé à ma mère.
Mon histoire n'a absolument rien d'extraordinaire dans notre cité.
Le petit peuple est exploité jusqu'à la moelle par ces grands seigneurs, que ça soit ici ou sur le champ de bataille. C'est pour remédier à ça que j'ai décidé de prendre les armes.
Je suis bien consciente que les nobles ne sont pas tous des salauds. Tu connais toi aussi celui grâce à qui j'ai été initiée au maniement du pistolet, n'est-ce pas ?
Enfin bref, nous avons assez parlé de moi. S'il s'agit de faire d'Ishgard une cité plus juste, vous pouvez compter sur nous.